<span class="italic">« Je vais m'évader... je vais m'évader... »</span>.
Comme tous les matins, en se levant, Loïc ressassait ces mots en regardant par la petite fenêtre qui lui permettait d'apercevoir les étoiles, ou mieux, la lumière du jour. Mais aujourd'hui était le bon jour, le jour de sa liberté, le jour où il allait tenter de s'évader de cette tour, de cette prison.
Loïc Malo était un ancien matelot, arrêté pour vente d'armes illégales, et il risquait une lourde peine. Cela faisait deux mois qu'il était enfermé au deuxième étage de la tour Solidor, entouré d'autres prisonniers.
En se retournant, il scrutait sa cellule à la recherche d'indices pouvant l'aider à gagner sa liberté. Mais où chercher en priorité...
Par où commencer ?
* [[Chercher dans les recoins des murs]]
* [[Chercher au niveau du banc]]
* [[Chercher au niveau de la table]]Loïc s'assit alors par terre et scruta chaque recoin du mur. Il ne savait pas vraiment ce qu'il cherchait, mais il se dit que, sait-on jamais…
Au bout d'un moment, il se leva et commença à toucher chaque pierre. Il pensa qu'il devait bien y avoir d'autres prisonniers comme lui qui avaient cherché, et peut-être trouvé, le moyen de s'évader.
Chaque pan de mur fut alors vérifié, examiné dans le moindre détail. N'y croyant plus, il s'appuya contre le mur pour réfléchir. C'est alors qu'il sentit une pierre bouger sous sa main. Son cœur s'accéléra. Il gratta les bords pour libérer cette pierre du mur, qui tomba au sol, révélant une petite boîte.
Il prit l'objet tombé entre ses mains : une simple boîte métallique, portant un code et un texte gravé sur le dessus qu'il lut en silence : " 3, 6, 12, 24, … "
Quelle réponse allait-il donner ?
* [[42]]
* [[32]]
* [[48]]Loïc s'approcha du banc qui lui servait de lit et commença par jeter au sol le drap et la couverture.
Il inspecta le banc, une simple planche de bois tenue par deux chaînes solidement ancrées dans le mur. La planche ne servirait à rien, mais peut-être que les chaînes... Mais après une heure à essayer de les arracher de la pierre, les chaînes n'avaient pas bougé d'un poil.
Frustré, il prit alors la couverture et le drap pour tenter de faire un nœud, mais c'était bien trop court. Sa cellule était au deuxième étage de la tour.
Visiblement, ce n'était pas là.
* [[Chercher dans les recoins des murs]]
* [[Chercher au niveau de la table]]Loïc s'approcha de la table, qui lui servait également de bureau, où il avait commencé à écrire sa biographie.
Il la retourna et commença à casser les pieds, mais à quoi serviraient-ils ?
Visiblement, ce n'était pas là.
* [[Chercher dans les recoins des murs]]
* [[Chercher au niveau du banc]]Rien ne se passa...
Loïc regarda la boîte, l'esprit tourné vers le texte gravé : "3, 6, 12, 24, …". Il réfléchit intensément. Une série de nombres, chaque chiffre doublant le précédent. L'intuition lui souffla qu'il s'agissait d'une progression géométrique, où chaque nombre était le double du précédent.
Quelle réponse va-t-il donner ?
* [[32]]
* [[48]]Rien ne se passa...
Loïc regarda la boîte, l'esprit tourné vers le texte gravé : "3, 6, 12, 24, …". Il réfléchit intensément. Une série de nombres, chaque chiffre doublant le précédent. L'intuition lui souffla qu'il s'agissait d'une progression géométrique, où chaque nombre était le double du précédent.
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Quelle réponse va-t-il donner ?
* [[42]]
* [[48]]Ses yeux s'illuminèrent lorsque la boîte s'ouvrit et qu'il découvrit la clé de sa cellule à l'intérieur. Loïc la prit et se précipita vers le cadenas pour l'ouvrir sans faire de bruit. Il entrouvrit ensuite la porte délicatement et se faufila dans le couloir, descendant les escaliers.
Mais, arrivé au premier étage, il remarqua une autre porte en bois fermée à clé. Il sentit sa liberté s'envoler, mais se dit qu'il y avait sûrement une clé quelque part, il suffisait de bien chercher.
Il se demanda alors où il allait chercher.
* [[Chercher au niveau des murs]]
* [[Chercher au niveau de la fenêtre]]Loïc commença alors à appuyer sur chaque pierre, fouillant chaque recoin tout en faisant attention de ne pas faire craquer le sol en bois.
Il se dépêcha, car le jour ne tarda pas à se lever, et il savait qu'il n'aurait pas une seconde chance. Après un moment, il se plaça au milieu de la pièce et regarda autour de lui.
Que restait-il à fouiller ?
* [[Chercher au niveau de la fenêtre]]Loïc regarda la fenêtre et commença à l'examiner, appuyant dessus et tirant sur les barreaux. Le sol étant en bois, il dut aussi faire attention à ne pas faire de bruit en marchant.
Quelques objets étaient disposés sur le rebord. Il les retira un par un, et en soulevant une nappe en dentelle, il aperçut un trou contenant une petite boîte métallique. Il la prit entre ses mains et l'ouvrit. Mais comme la première, il fallut un code. <span class="italic">« Malheur à celui qui a fait ça ! »</span>, se dit-il.
On pouvait lire sur le dessus "1=2 - 3=5 - 5=..."
Quelle réponse alla-t-il donner ?
* [[6]]
* [[5]]
* [[4]]Le coffret ne s'ouvrit pas…
Loïc réfléchit alors à ce qu'il pourrait donner comme réponse.
Il se concentra, essayant de percer le mystère derrière cette étrange relation. Après quelques secondes d'hésitation, une idée s’imposa à lui. Il se rappela d'une vieille règle mathématique, une séquence qu'il avait apprise lors de ses voyages en mer.
Quelle réponse allait-il donner ?
* [[5]]
* [[4]]Le coffret ne s'ouvrit pas…
Loïc réfléchit alors à ce qu'il pourrait donner comme réponse.
Il se concentra, essayant de percer le mystère derrière cette étrange relation. Après quelques secondes d'hésitation, une idée s’imposa à lui. Il se rappela d'une vieille règle mathématique, une séquence qu'il avait apprise lors de ses voyages en mer.
Quelle réponse allait-il donner ?
* [[6]]
* [[4]]<span class="italic">« Clic clac »</span> Mais bien sûr, il y a quatre lettres dans le mot cinq.
La petite boîte s'ouvrit, laissant apparaître un bout de papier que Loïc glissa rapidement dans sa poche, ainsi qu'une nouvelle clé qu'il saisit sans hésiter pour ouvrir la porte en bois.
Loïc savait qu'il allait pouvoir descendre au rez-de-chaussée, mais une question persistait dans son esprit : une autre énigme l'attendait-elle encore ? C'est ce qu'il se demanda en descendant l'escalier tout en longeant le mur. Arrivé en bas, il découvrit deux portes menant à un couloir surveillé par deux gardes.
Loïc prit alors le petit bout de papier qu'il avait mis dans sa poche et le lut : <span class="italic">« L'un ment, l'autre dit toujours la vérité. »</span>
Il savait que la liberté se trouvait à portée de main, mais il fallait poser la bonne question. Il réfléchit un instant, se recoiffa et se rhabilla correctement, puis se rapprocha d'un des gardes.
<span class="italic">« Garde ! Si je demandais à l’autre garde quelle est la porte de sortie, que me répondrait-il ? »</span>
* [[Prendre la porte que le garde indique]]
* [[Prendre la porte opposé]]S'avançant doucement vers la porte, Loïc l'entrouvrit. Soudain, un des gardes le poussa violemment dans le dos. Il chuta au sol dans une petite pièce ressemblant à une cellule et entendit le cadenas de la porte se refermer derrière lui.
Les deux gardes se mirent à rire et à crier <span class="italic">« Non, mais tu pensais vraiment nous avoir. Ha ha ha... »</span>.
<center><img src="https://regarddecorsaire.com/wp-content/histoires/finhistoire_solidor1.png" alt="Le prisonnier de Solidor" class="responsive-img ombre">
<i class="fas fa-sync-alt"></i> [[Recommencer->Debut]]</center>S'avançant avec hâte vers la porte, Loïc l'entrouvrit en tremblant. Soudain, un des gardes se mit à crier : <span class="italic">« Hey ! attention à vous, on ne sait jamais qui rôde la nuit »</span>.
Sans se retourner, Loïc le remercia et continua d'avancer en accélérant le pas. Arrivé au bout de l'anse Solidor, il se mit à courir en rigolant et respirant l'air marin. Il était libre !
<center><img src="https://regarddecorsaire.com/wp-content/histoires/finhistoire_solidor2.png" alt="Le prisonnier de Solidor" class="responsive-img ombre">
<i class="fas fa-sync-alt"></i> [[Recommencer->Debut]]</center>